9 films de John Candy qui vous rappelleront l’adorable comique canadien

Guide complet : 9 films de John Candy qui vous rappelleront pourquoi nous adorons cette icône de la comédie canadienne

John Candy était bien plus qu’un simple acteur comique – il était, et demeure, un trésor national canadien, vénéré aux côtés d’autres grandes icônes disparues comme Phil Hartman, Norm MacDonald et Leslie Nielsen. Mais la chaleur, l’humour et la présence plus grande que nature de Candy ont eu un impact énorme à l’échelle mondiale, et cet impact se fait encore sentir aujourd’hui.

Alors que le nouveau biopic de Colin Hanks et Ryan Reynolds, John Candy: I Like Me, fait son chemin vers Prime Video en octobre, je me suis retrouvé les larmes aux yeux en me remémorant ses films extraordinaires et ses personnages légendaires de SCTV. Parcourir sa filmographie a été un rappel hilarant de son génie et de la raison pour laquelle il était si aimé.

Voici un guide chronologique de ses meilleurs films (et de mes préférés) de John Candy, présenté non pas comme un classement, mais comme un voyage à travers sa carrière exceptionnelle.

1. Stripes (1981) – Les débuts hollywoodiens

Matériel nécessaire pour apprécier ce film :

  • Une soirée libre pour rire aux éclats
  • Une appréciation pour l’humour militaire absurde
  • La capacité d’apprécier les débuts d’une légende

En 1981, la plupart des fans de John Candy ne le connaissaient que pour son travail sur SCTV. Mais quand son collègue de Second City, Harold Ramis, a écrit cette comédie militaire loufoque et que le réalisateur Ivan Reitman a choisi Candy pour ce qui serait son premier grand film hollywoodien, l’Amérique allait enfin découvrir le secret le mieux gardé du Canada.

Stripes raconte l’histoire d’une paire d’amis malchanceux joués par Bill Murray (fraîchement sorti de Meatballs) et Harold Ramis, qui décident de rejoindre l’armée pour relancer leurs vies de losers. La performance révolutionnaire de Candy en tant qu’Ox, maladroit mais adorable, qui s’engage pour perdre du poids et gagner du respect, a immédiatement séduit le public.

Meilleur moment de Candy : Sans aucun doute la scène de lutte dans la boue, où l’imposant Ox affronte un groupe de femmes avec un abandon téméraire dans un bar.

2. Splash (1984) – Le charme en second rôle

Étapes pour apprécier cette comédie romantique :

  1. Préparez-vous à voir Tom Hanks dans un de ses premiers grands rôles
  2. Admirez la chimie entre les personnages principaux
  3. Observez comment Candy vole chaque scène malgré son rôle secondaire
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Cette comédie romantique réalisée par Ron Howard raconte l’histoire d’un New-Yorkais mélancolique (Tom Hanks) qui tombe amoureux d’une belle femme mystérieuse (Daryl Hannah) avec un secret magique – elle est une sirène. Le film a été bien accueilli pour son originalité et la chimie entre ses deux protagonistes.

Cependant, c’est Candy qui a encore une fois volé chaque scène dans Splash, jouant Freddy, le frère aîné bruyant de Hanks. Tout en incarnant le célibataire perpétuel et mielleux, il a réussi à rester adorable.

Meilleur moment de Candy : Sans conteste, la scène de racquetball, où un Freddy en sueur et haletant ouvre une bière et tire sur une cigarette sur le terrain, tout en prodiguant des conseils amoureux à son frère.

3. Summer Rental (1985) – Le premier rôle principal

Guide pour comprendre l’importance de ce film :

  1. Reconnaissez que c’est le premier film où Candy porte seul l’affiche
  2. Appréciez l’humour physique caractéristique de Candy
  3. Observez la formation de sa signature comique

Summer Rental a été une étape importante pour Candy, car après deux succès en tant que personnage secondaire, il a prouvé au monde qu’il pouvait également être la tête d’affiche d’un blockbuster majeur. Le film suit Jack Chester (Candy), un contrôleur aérien stressé qui est forcé de prendre des vacances pour se détendre, alors lui et sa famille attachent une remorque U-Haul et se dirigent vers la Floride pour un mois de vacances.

Il est difficile de battre un personnage d’homme ordinaire de John Candy qui a été tellement rabaissé qu’il n’a d’autre choix que de se relever. Leur maison de location est une baraque délabrée, Jack souffre d’un coup de soleil brûlant, et un crétin local (Richard Crenna) l’a défié dans une compétition de voile.

Meilleur moment de Candy : Je n’oublierai jamais mon père qui a failli tomber du canapé en riant à la première apparition de Candy, naviguant sur la plage – portant un maillot des Blackhawks, sa fille sur ses épaules, pataugeant dans le sable brûlant, marchant sur tout et tout le monde alors que la glacière fuit de la glace. Du Candy classique.

4. Spaceballs (1987) – La parodie parfaite

Matériel requis pour cette expérience spatiale :

  • Une connaissance de base de Star Wars
  • Une appréciation pour l’humour de Mel Brooks
  • La capacité de citer des répliques mémorables

Cette parodie de Star Wars de Mel Brooks n’est pas seulement un de mes films préférés, c’est aussi mon film John Candy préféré de tous les temps. Le casting de Candy en tant que Barf, l’adorable Chewie du personnage mélange Solo/Skywalker de Bill Pullman, Lone Starr, était génial.

Barf déverse juste un soulagement comique adorable dans Spaceballs, alors que lui et Lone Starr affrontent le Président Skroob (Brooks) et Dark Helmet (Rick Moranis) pour les empêcher de voler tout l’air de la planète Druidia tout en sauvant également la belle Princesse Vespa (Daphne Zuniga).

Meilleur moment de Candy : Candy est brillant dès le départ en tant que Barf, livrant cette réplique infiniment citable quand Vespa et Dot Matrix le rencontrent pour la première fois : “Je suis un mog ! Moitié homme, moitié chien. Je suis mon propre meilleur ami.”

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5. Planes, Trains, and Automobiles (1987) – Le chef-d’œuvre

Étapes pour apprécier ce classique :

  1. Préparez-vous émotionnellement pour un mélange de rires et de larmes
  2. Observez la dynamique parfaite entre Martin et Candy
  3. Attendez-vous à une fin qui vous brisera le cœur

Quand vous dites le nom John Candy, c’est ce chef-d’œuvre de John Hughes qui vient inévitablement à l’esprit. Il y a simplement trop de moments classiques à mentionner ici, et trop de moments qui définissent la carrière de Candy dans Planes, Trains, and Automobiles. Mais son interprétation du vendeur d’anneaux de rideau de douche Del Griffith vous fera mourir de rire, rire et pleurer avant que tout soit dit et fait.

Steve Martin et Candy donnent une masterclass dans la dynamique comique homme sérieux/homme drôle, alors que l’exécutif publicitaire tendu de Martin, Neal Page, se retrouve coincé avec Del alors que les étrangers décident de faire équipe pour un voyage frénétique vers Chicago à temps pour Thanksgiving.

Meilleur moment de Candy : Il est impossible de choisir, mais je n’ai jamais fait de road trip sans penser à Del et Neal “allant dans le mauvais sens !” dans la circulation sur l’autoroute. Ça, ou la scène du motel où Neal se réveille avec Del qui le câline, qui est un des moments les plus drôles de l’histoire du cinéma.

6. The Great Outdoors (1988) – L’homme ordinaire contre le crétin

Guide pour apprécier cette comédie familiale :

  1. Préparez-vous à des gags physiques hilarants
  2. Appréciez la dynamique entre Candy et Aykroyd
  3. Attendez-vous à des moments avec des ours mémorables

Le deuxième des quatre films de John Hughes dans lesquels Candy jouerait (si vous ne comptez pas son petit rôle dans Vacation), The Great Outdoors était un autre cran dans la ceinture de Candy pour maîtriser le rôle de l’homme ordinaire sain contre un crétin bruyant.

Similaire à Summer Rental, Candy joue Chet Ripley, un père de famille de Chicago qui emmène sa femme et ses enfants dans une escapade au bord du lac. Cette fois, cependant, le crétin est son beau-frère, Roman (Dan Aykroyd), un banquier d’investissement qui pense qu’il est meilleur que Chet.

Meilleur moment de Candy : Le massif “ours chauve du comté de Clare” défonce la porte de leur cabane. Il atterrit sur Chet et procède à rebondir de haut en bas sur lui pendant que Candy grogne hystériquement.

7. Uncle Buck (1989) – L’oncle irrésistible

Matériel nécessaire pour cette comédie familiale :

  • Une appréciation pour l’humour familial décalé
  • La capacité d’apprécier les méthodes non conventionnelles
  • Une préparation pour des moments touchants inattendus

Dans la chronologie Hughes/Candy, Uncle Buck est un autre de mes favoris avec certains des meilleurs moments de l’histoire de la comédie. Dans un de ses rôles principaux les plus iconiques, Candy joue Buck Russell, le frère célibataire et irresponsable de Bob, qui fait appel à lui pour s’occuper de ses trois enfants (y compris un Macaulay Culkin d’avant Home Alone) pendant une urgence familiale.

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Buck n’a clairement aucune expérience avec les enfants (au grand dam de sa petite amie, Chanice), et ses méthodes rudes sont épouvantables (il fait une crêpe géante et la retourne avec une pelle à neige). Mais avec Candy à la barre, Buck gagne les enfants (et nous) avec son honnêteté adorable.

Meilleur moment de Candy : La scène où Buck interroge le petit ami adolescent de sa nièce est légendaire, culminant avec la menace : “Tu me fais mal aux oreilles quand tu parles.”

8. Home Alone (1990) – L’apparition mémorable

Étapes pour apprécier ce cameo :

  1. Regardez attentivement les scènes d’aéroport
  2. Appréciez la générosité de Candy envers son ami Hughes
  3. Observez comment même un petit rôle devient mémorable

Bien que ce ne soit qu’un petit rôle, l’apparition de Candy dans Home Alone en tant que Gus Polinski, le leader du groupe de polka “Kenosha Kickers”, est inoubliable. Sa générosité à accepter ce petit rôle pour aider son ami John Hughes montre le caractère de l’homme derrière le comédien.

Meilleur moment de Candy : Sa conversation sincère avec Catherine O’Hara dans la camionnette, offrant réconfort et transport à une mère désespérée.

9. Cool Runnings (1993) – L’héritage final

Guide pour apprécier ce film inspirant :

  1. Préparez-vous pour une histoire inspirante basée sur des faits réels
  2. Appréciez la performance dramatique de Candy
  3. Reconnaissez l’importance de ce dernier grand rôle

Cool Runnings représente l’un des derniers grands films de Candy, et il montre sa capacité à équilibrer comédie et drame. Jouant Irving Blitzer, l’entraîneur déshonoré qui aide l’équipe de bobsleigh jamaïcaine, Candy apporte profondeur et cœur au rôle.

Ce film, sorti l’année avant sa mort tragique en 1994, sert de testament à sa polyvalence en tant qu’acteur et à sa capacité à inspirer autant qu’à faire rire.

Meilleur moment de Candy : Son discours motivationnel à l’équipe jamaïcaine, montrant sa capacité à livrer des moments dramatiques puissants.

Conclusion : L’héritage durable de John Candy

John Candy nous a quittés bien trop tôt à l’âge de 43 ans, mais son héritage continue de nous faire rire et de nous émouvoir. Ces neuf films représentent le meilleur de sa carrière, montrant un homme qui pouvait nous faire rire aux éclats tout en touchant nos cœurs.

Que vous redécouvriez ces classiques ou les regardiez pour la première fois, chaque film offre un rappel de pourquoi John Candy reste l’une des figures les plus aimées de la comédie. Son mélange unique de vulnérabilité, de chaleur et d’humour physique a créé des personnages qui résonnent encore aujourd’hui.

Alors que nous attendons avec impatience le biopic John Candy: I Like Me, ces films nous rappellent que certaines personnes ont le don rare de nous faire sentir mieux dans notre peau, et John Candy était définitivement l’une d’entre elles.

Rédactrice spécialisée en édition de site. Formation de journaliste et passionnée par les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle et la rédaction web.

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